A propos de l’article " Trois pratiques préliminaires au Yoga du rêve "
Depuis que je pratique quotidiennement le yoga du rêve, je dors mieux et je m'endors extrêmement rapidement. Avec la pratique, j'ai constaté que si je m'assoupis du côté droit (réservé aux hommes) je ressens instantanément des émotions négatives. Dormir du côté gauche me procure un profond et immédiat bien-être, du repos réparateur et une joie indicible.
Inès
Notre responsabilité vis à vis de notre santé
Jeudi 16 décembre j'étais au cours de 19h30 à Clichy.
Il y avait des mois que j'avais mal au dos au niveau des lombaires.
Le lendemain matin, pouf: plus mal !
J'espère que ça va durer, mais ce qui est sûr maintenant c'est que ce n'est pas irréversible d'avoir mal.
Merci
Muriel
Etre bien avec soi-même
Comme chaque mercredi j'ai beaucoup apprécié la séance de yoga. Mais il y a eu quelque
chose de différent cette fois ci qui m'a fait particulièrement du bien. J'ai ressenti un bien être
profond dans tout mon corps, beaucoup plus que d'habitude.
Corinne
A propos de l’article " La motivation juste, clef du reiki "
C'est toujours un plaisir de recevoir un mot de toi ou un article. C'est un lien précieux et bien que loin l'un de l'autre et dans d'autres champs d'apprentissage, cela nous permet de savoir où l'autre en est de son chemin.Concernant ton article, je ferai 3 commentaires, tirés de mes expériences récentes.
Jacqueline
Un clin d'oeil à propos de Suryanamaskar
Pour la salutation au soleil, j'essaie et je m'applique, mais c'est à cet astre capricieux que nous devrions apprendre à pratiquer la Salutation aux Terriens, nous ne le voyons guère ces jours derniers :-)
Françoise.
Purification d'un lieu
Je vous avais fait part de mes soucis concernant le conservatoire que j’ai créé. Avant la rentrée des congés d'Avril, je suis allée dans les locaux pour y faire une séance de Reiki destinée à "assainir" les lieux . J'ai senti rapidement que l'atmosphère changeait. C’est difficile à décrire, mais j'ai senti une libération.....La rentrée s'est ensuite effectuée plus normalement et la personne "problèmatique"n'a plus voulu rester dans la salle qui lui était attribuée et a quitté l’école sans explications, (…) et la fin de l'année s'est bien déroulée.......
Je suis encore sur la surprise du déroulement et me sens vraiment apaisée.... Je vous remercie
vivement de votre enseignement, de votre compréhension et je suis très reconnaissante au Reiki. J'espère me perfectionner dans cette pratique car je sens que j'ai encore beaucoup à faire.
Françoise
A propos de ce blog
Un grand merci pour votre message de Noël et pour l'article qui l'accompagnait . J'apprécie beaucoup ces textes que vous mettez à notre disposition . En ce qui me concerne cela me permet d'approfondir et d'intérioriser la pratique et de ne pas en rester au seul niveau de la posture . Comprendre la signification d'un geste ou d'une posture est une aide pour l'intégrer et l'améliorer .En outre je ressens un bienfait réel lorsque je pratique les exercices respiratoires . Ils contribuent à l'amélioration de mes problèmes d'asthme et de sinus .
Alors merci pour ce que vous nous transmettez en cours et dans vos écrits .
Anne
Je crois que je peux dire , que maintenant le yoga fait partie intégrante de moi , même si il y a interruption pour toutes sortes de raison , même si ma pratique n'est pas aussi complète que je le souhaiterais , je reste sereine ;je n'ai plus peur de la longue route , ni de décrocher tant que j'en ai la capacité physique et mentale . Je pratique 4 ou 5 fois par semaine mais les cours sont indispensables...............
Françoise
Accepter - pour le meilleur - d'être surprise par les résultats de l'initiation
Je me permets de partager avec vous ces quelques lignes. A vrai dire, je n'ai trouvé personne avec qui le faire. J'ai pourtant tendu quelques perches choisies mais sans succès, alors je n'ai pas insisté et avoue me sentir bien seule avec tout cela.
Préparation à une intervention chirurgicale (extraction d'une dent de sagesse)
Tout d'abord merci infiniment pour le soutien et l'énergie dont tu m'as "entourée" ; je souligne ce mot car c'est vraiment ce que j'ai ressenti après m'être réveillée. J'étais comme enveloppé d'une chaleur douce et bienveillante, seule ma joue droite est restée fraîche (sans doute à cause de la poche de glace que l'on m'a appliquée).
Après la première extraction avortée (sous anesthésie locale), et les journées douloureuses, physiquement et moralement, qui ont suivi, je me suis appliquée à suivre tes conseils, à visualiser très précisemment le déroulement de l'intervention sous anesthésie générale. Je connaissais déjà la clinique (mon fils s'y étant lui aussi fait retirer les dents de sagesse). J'ai pu rafraîchir ma mémoire en y retournant pour la consultation d'anesthésie et cela m'a permis d'"enrichir mon scénario. Quant au stomatologue, je lui faisais vraiment confiance (il avait très bien pris en charge mon fils pour de sérieux problèmes d'orthodontie et ce pendant 8 ans).
En fait, j'appréhendais surtout l'anesthésie générale. Pour ce qui concerne les suites de l'intenvention (oedème et déformation de visage, douleur +++) pas d'inquiètude particulière puisque j'avais réussi à trouver grâce à tes enseignements comment agir sur la douleur :
1 - ne pas dépasser le seuil de tolérance de la douleur (ne pas dépasser ses limites) et donc accepter de devoir prendre des analgésiques ; je me suis autorisée à aller voir mon médecin homéopathe qui a su me prescrire les médicaments qui ont transformé la douleur en gêne, sans m'abrutir au point de ne plus pouvoir aller travailler.
2 - ne pas focaliser sur la gêne résiduelle ce qui avait tendance, comme un effet de ricochet, à contracter les muscles du cou et du crâne et à provoquer une migraine aussi invalidante que la douleur dentaire elle-même. Là, la relaxation par les exercices de respiration a porté ses fruits.
Finalement cette journée du 19 décembre restera un souvenir parmi d'autres, une nouvelle expérience (celle de l'anesthésie générale).
Moi qui pensait devoir patienter jusqu'en fin de matinée en ayant recours à la relaxation pour juguler l'angoisse, je me suis vue prise en charge, comme une petite fille, par une équipe jeune, sympathique et pas stressée. Normalement, m'avait dit l'anesthésiste, les enfants passent en premier, les adultes en fin de matinée. Et bien, pour une raison que j'ignore, ce jour là, je suis passée la première au bloc, sans avoir le temps de m'allonger dans mon lit, sans avoir le temps de m'angoisser.
Pendant que l'anesthésiste me branchait une perfusion et réglait ses machines j'ai pu discuter et plaisanter avec lui, dire aux jeunes infirmières que, de les voir, me revenaient les souvenirs de ma formation (je suis infirmière-puéricultrice) ; l'une d'elle m'a dit qu'elle projetait de se spécialiser en puériculture pour travailler dans une crèche. En tout, dix personnes autour de moi, souriant, bienveillant. Je me suis endormie sans aucune crainte.
Cela restera un moment très chargé émotionnellement. Etonnamment, je le rapproche des mes deux accouchements et je pense que comme eux, plein de petits détails resteront bien imprimés dans ma mémoire. Je vais maintenant laisser faire le temps et "métaboliser" de manière positive cette expérience.
Encore une fois merci pour ton aide et ton enseignement.
Isabelle
La joie de renouer avec l'enfant qui est en soi
Juste un petit mot qui j'espère vous fera plaisir.
Quelques réflexions concernant ma pratique du yoga
1 Détente : Lorsque je m’installe dans certaines postures, j’entends Christian dire : " Détendez-vous et laissez travailler la posture en vous ". Me détendre alors que cette torsion est particulièrement éprouvante pour mon cou et mes cervicales ? Me détendre alors que tel enjambement met à l’épreuve mes cuisses qui se ploient et tremblent sous le poids de mon corps ? Me détendre alors que j’éprouve tout sauf du plaisir ? Cette première rafale de pensées traverse toujours mon esprit plus ou moins consciemment dans un premier temps. Puis, tout en gardant la posture, à l’idée de ce premier désagrément physique, vient s’ajouter celle d’une détente possible. Et si après tout, malgré l’effort et la difficulté, c’était tout bêtement possible de se détendre? Je laisse cette idée faire son chemin et je m’aperçois que, dans un premier temps, douleur et détente se confondent, puis, qu’au fur et à mesure que le temps passe, j’arrive à me concentrer plus longtemps sur cette dernière. Et c’est lorsque je suis parvenu à ce que mon esprit reste orienté, pendant plusieurs respirations, vers cette détente possible que j’ai vécu pleinement les bienfaits énergétiques de mes meilleures séances.
2 Tensions : A la fin de la séance, je rentre chez moi à pied. Je suis plutôt détendu et je me sens léger. En marchant, certaines sensations musculaires me rappellent le travail effectué. Mon corps reste très présent. Je l’habite plus agréablement que tout à l’heure. Puis, naturellement, mon esprit divague : je pense à ce que je vais faire de ma soirée, à ce que j’ai fait dans journée, et je me perds doucement dans d’autres considérations. Et, tout à coup, par réflexe et profitant sans doute de mon inattention, mes épaules se contractent, mon dos se raidit, mes mâchoires se resserrent automatiquement. C’est comme si mon corps cherchait à retrouver les tensions avec lesquelles il avait appris à bouger. A présent je m’en aperçois clairement et, comme lorsqu’on enfile par erreur le manteau de quelqu’un d’autre, je me déleste facilement de ces tensions dans lesquelles je me ne reconnais plus.
3 Difficulté : Il n’y a pas de geste ou de posture qui ne puisse faire l’objet d’un approfondissement physique ou spirituel. Tension plus ou moins importante dans le bas du dos, étirement plus ou moins éprouvant des vertèbres, respirations en trois parties, petite ou grande salutation, il est certain que tous ces exercices peuvent s’effectuer à plusieurs niveaux de complexité pratique et mentale. J’entends souvent Christian dire : " Ceux qui éprouvent le besoin de s’en tenir à cette variante de la posture, le font ; inutile de vous forcer si cela vous suffit ". En effet, après avoir pris certaines postures, en diminuant par exemple l’inclinaison de mon torse, la flexion de mes genoux, l’étirement de mes mollets ou l’intensité d’une mise en tension, j’ai cherché à les adapter à mes capacités actuelles (degré de fatigue et état psychique) pour trouver une plus grande justesse : c’est ainsi que j’ai découvert qu’un simple déplacement corporel de quelques centimètres, en essayant d’être au plus près des consignes techniques, était beaucoup plus rentable sur le plan énergétique que la recherche d’une acrobatie pénible.
Paul Baudry